FASCIITE NECROSANTE ET SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON, UNE ASSOCIATION EXCEPTIONNELLE AU COURS DE LA GROSSESSE : A PROPOS D’UN CAS
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Résumé
Nous rapportons le cas d’une femme enceinte de 26 ans qui a présenté une fasciite nécrosante vulvocrurale secondaire à un syndrome de Stevens-Johnson provoqué par la prise de sulfadoxine-pyriméthamine (SP) dans le cadre du traitement préventif intermittent (TPI) du paludisme. Pendant son hospitalisation, elle a expulsé un fœtus mort de sexe féminin. Une intervention chirurgicale de débridement large de la cuisse associée à une incision de décharge à la grande lèvre a été réalisée. Nous avons opté pour une cicatrisation dirigée. Au suivi à huit mois, les lésions étaient complètement cicatrisées.
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1.
SIDIBE M. FASCIITE NECROSANTE ET SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON, UNE ASSOCIATION EXCEPTIONNELLE AU COURS DE LA GROSSESSE : A PROPOS D’UN CAS. J Chir Spéc Mali [Internet]. 14 mai 2025 [cité 17 mai 2025];4(2):21-4. Disponible à: https://revues.ml/index.php/jcsm/article/view/3018
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